Concours : Places à gagner pour Julia Holter + Arlt +Thee Verduns aux Trinitaires

Vous ne savez pas quoi faire le 15 juin 2012 vers 20h ? Vous avez toujours rêvé de venir aux Trinitaires de Metz ? Surtout vous adorez la musique et vous avez sacrément envie de passer une soirée sympa autour d’un concert ? Le Magazine Karma, en partenariat avec les Trinitaires de Metz vous propose de gagner 2×2 places pour le concert de Julia Holter + Arlt + Thee Verduns.

Pour cela, rien de plus simple, il vous suffit de remplir le formulaire ci-dessous ! Attention, pour pouvoir être sélectionné, il faut aimer notre chouette fanpage : www.facebook.com/MagazineKarma (en plus, grâce à elle, vous connaîtrez la mise en ligne des prochains concours !).
Tirage au sort le 12 juin prochain !

Si vous souhaitez en savoir plus sur les groupes présents, retrouvez la date dans notre agenda :
ARLT + JULIA HOLTER + THEE VERDUNS aux Trinitaires

ou ici :

JULIA HOLTER

Originaire de Los Angeles et codirectrice du label Human Ear Music (Ariel Pink, Super Creep, Nite Jewel), JULIA HOLTER est surtout musicienne, à défaut d’être californienne. Elle nous a donné un des plus beaux disques de ce début 2012, Ekstasis. Les morceaux qui composent cet album conju­guent une approche expérimentale et ludique de la musique, et malgré des arrangements complexes et des sonorités hétéroclites, cet album conserve une cohérence sublime, voyage vers un monde onirique, baroque et élec­tronique. Sur scène, Julia Holter est accompagnée d’un percussionniste et d’un violoncelliste. De quoi illuminer le cloître des Trinitaires.
http://juliashammasholter.com/

 

ARLT

ARLT, c’est Eloïse Decazes et Sing Sing. Elle est chanteuse. Une ges­tuelle inséparable de ses mots, une performeuse hors du commun à la présence empreinte de mysticisme. Il est guitariste électrique et électrifié, chanteur grave et décavé. Le deuxième album d’Arlt s’appelle Feu la figure. Avec cette langue qu’ils ont inventée et qu’ils ont pétrie et modelée à leur guise, ils ont pu se concentrer encore sur les mots. Ces mots, leurs mots, ceux qui disent les maux. Ils honorent la langue française en puisant dans ses réserves insoupçonnées, en l’emballant de métaphores charnelles, d’allégories terriennes, toutes d’une poésie infinie. Leurs mots défilent, en accord parfait avec ce rock minimal et obsédé, primal et répétitif : deux voix, des guitares – celles de Sing Sing et de Mocke (du groupe Holden) – et basta.
www.myspace.com/arltmusic

 

THEE VERDUNS revendique pour le meilleur ou pour le pire une country débraillée… À coups de banjo désaccordé, de guitare à trois cordes, de chants beaux comme une plainte, de caisse claire moite, ils sèment la stupéfaction, l’effroi, l’électricité, l’ahurissement. Plus glamour que The Gories, plus disco que Boss Hog, plus vivants que June Carter & Johnny Cash, ils sont incontournables. Tour à tour saignants, maladroits, tei­gneux, leur répertoire vaut le détour pour les rednecks et les freaks d’ici ou d’ailleurs.
www.myspace.com/theeverduns

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